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Bienvenue à la consultation du Prof.Dr Argacha Jean-François, cardiologue.
Douleur dans la poitrine, essoufflement anormal, palpitations ou malaises avec sensation de perte de connaissance sont autant de symptômes angoissants justifiant une mise au point cardiologique. Le travail du cardiologue va être d’interpréter ces symptômes en fonction du mode de vie de son patient, des facteurs de risques personnels et familiaux et d’un examen cardiaque approfondi. Toutefois, une des particularités des affections cardiologiques est qu’elles peuvent aussi demeurer silencieuses jusque très tardivement dans la vie. Ainsi, il est également souhaitable de consulter un cardiologue pour un dépistage lorsque le risque cardiovasculaire est augmenté par : des mauvais antécédents familiaux (maladie cardiaque chez les parents ou la fratrie), des comportements à risque (tabagisme, mauvaise alimentation, sédentarité) ou des maladies plus chroniques (diabète, hypertension artérielle, insuffisance rénale).
Je vous propose de vous recevoir dans mon cabinet de waterloo pour une mise au point cardiologique. Vous pouvez d’ores et déjà découvrir sur ce site mon parcours de médecin, ainsi que les principaux examens cardiologiques réalisés au cabinet et, si nécessaire, à l’hôpital. Bien que je sois spécialisé dans le traitement de la maladie des artères coronaires par la mise en place de stents, je reste très attaché à la prévention cardiovasculaire et à une approche individualisée. La cardiologie moderne est aussi un travail d’équipe. Ainsi, je collabore avec les équipes de l’Universitair ziekenhuis Brussel (UZB) à Jette, où j’exerce la majeure partie de mes activités cliniques.
La prise de rendez vous peut facilement s’effectuer sur ce site en cliquant sur l’onglet “prendre rdv”. Si vous avez besoin d’un rendez vous rapide (24-48h), le plus simple est de me contacter via le formulaire de contact en cliquant sur l’onglet “contact”.
Telephone: 0472971654
E-Mail: cardio@proximus.be
Adresse:
Espace Médical Waterloo
Chaussée de Bruxelles 325
1410, Waterloo, Belgique
Jeudi | 08h30-16h30 (conventionné) |
Jeudi | 16h30-18h45 (conventionné) |
Samedi | 09h30-14h45 (non conventionné) |
(non conventionné) |
Né le 14/05/1976 (42 ans) à Lyon (France). Arrivé en Belgique en 1995. Marié et 3 enfants.
Parcours Universitaire :
Etude de médecine à Mons (UMH) puis à Bruxelles (ULB),
Diplômé médecin en 2002 (ULB) et certification en médecine d’urgences en 2004 (ULB),
Diplômé cardiologue en 2009 (ULB) et certification en cardiologie interventionnelle en 2010 (Université Paris Descartes),
Maître de Conférences à l’ULB depuis 2010 et Professeur Clinique à la VUB depuis 2014.
Parcours professionnel :
En 2009 : Résident dans le service de cardiologie de la clinique Pasteur à Toulouse (France),
De 2009 à 2013 : Résident puis Chef de Clinique adjoint dans le service de cardiologie de l’hôpital Erasme,
Depuis 2013 : Chef de Clinique dans le service de cardiologie de l’UZ brussel (VUB, Jette)
Membre de la Société Belge de Cardiologie (BSC), membre et ancien secrétaire du groupe du travail sur les soins cardiologiques aigus (BIWAC), membre de l’association française Cœur et Travail.
Centres d’intérêts principaux:
Cardiologie interventionnelle (coronarographie, angioplastie coronaire, fermeture de PFO et ASD, TAVI)
Soins intensifs cardiologiques (post infarctus, insuffisance cardiaque aigue)
Prévention cardiovasculaire (tabagisme, hypertension, dyslipidémie)
Imagerie non invasive (scanner coronaire)
L’électrocardiogramme est l’analyse de l’activité électrique du cœur. La plupart des maladies du cœur vont modifier cette activité électrique. L’enregistrement se fait par le placement d’électrodes sur la poitrine et au niveau des bras et des jambes. Sa réalisation et son interprétation est très rapide et indolore.
L’électrocardiogramme de repos est un bon examen mais souvent les perturbations de l’activité électrique du cœur ne s’observent que lorsque le cœur est « stressé ». La consultation comporte donc souvent un test d’effort réalisé sur un vélo, afin d’examiner la réponse du cœur à un stress extérieur. On enregistre donc l’électrocardiogramme et la pression artérielle. Le test d’effort dure quelques minutes et est réalisable par la grande majorité des patients.
L’examen au stéthoscope du cœur permet d’identifier des bruits anormaux tels que des souffles. De nos jours, les évolutions techniques permettent de préciser l’origine de ces bruits par un examen d’échographie doppler. A l’aide de l’analyse d’images par ultrasons, il est possible d’examiner les cavités du cœur et ses valves. Il y a en effet 4 clapets à l’intérieur du cœur qui fonctionnent depuis la vie fœtale. Comme tout clapet, ceux-ci s’usent avec le temps et peuvent moins s’ouvrir, on parle alors de sténose ; ou moins se fermer, on parle alors de régurgitations. L’examen d’échographie va donc investiguer ces 4 valves, mais aussi la fonction globale du cœur. Cet examen s’effectue en position couchée sur le côté, et est indolore et sans danger.
Pour des cas particuliers, il faut examiner l’électrocardiogramme pendant 24 heures. Pour cela, des dispositifs miniatures, appelés « holter », peuvent enregistrer l’activité du cœur pendant 24 heures. Il s’agit d’appareils très discrets, placés à la ceinture, ou autour du cou comme un collier, et qui sont raccordés à la peau par 3 fils. Pendant l’enregistrement, il est recommandé d’avoir une activité normale. L’appareil doit être rapporté le lendemain au cabinet, accompagné de son câble. Il s’agit d’appareils de haute technicité, et donc couteux. Nous demandons d’y apporter le plus grand soin. L’appareil ne doit pas être exposé à l’eau (douche, bain).
Le scanner est une imagerie par rayon X qui a révolutionné la prise en charge de la maladie des artères coronaires. En effet, la qualité de l’image est telle, que l’on peut désormais évaluer la présence d’une maladie des artères du cœur par un examen indolore et rapide. L’UZB possède un scanner de dernière génération permettant l’acquisition d’image de haute qualité. L’interprétation des images est effectuée par les radiologues. Enfin, l’UZB participe à des recherches sur l’amélioration de l’interprétation de ces images à l’aide de traitement informatique particulier (FFR-CT). Le scanner utilisant des rayons X, son utilisation doit être limitée à des indications très strictes.
Il s’agit d’un examen dit « invasif » car requérant la ponction d’une artère afin d’effectuer un cathétérisme du cœur. Dans 90% des cas, cet examen s’effectue par le poignet après une anesthésie locale. Des cathéters de 1.5 à 2 mm de diamètre sont alors remontés au niveau du cœur sous contrôle d’imagerie radiologique par rayons X. L’examen est peu douloureux, mais est le seul à pouvoir confirmer avec certitude si les artères du cœur présentent une maladie qui nécessitera un traitement spécifique. Quand la maladie se limite à quelques endroits bien limités, le traitement consiste le plus souvent à la mise en place de stents. Les stents sont des prothèses métalliques cylindriques de quelques millimètres de diamètre et de quelques centimètres de long. Quand la maladie est plus avancée, il peut être alors recommandé de traiter cette situation par la réalisation de pontages coronaires. La coronarographie et la mise en place de stents s’effectue à l’UZB par une équipe de 5 cardiologues interventionnels, dont je fais partie. Les pontages sont effectués, quant à eux, par l’équipe de chirurgie cardiaque de l’UZB.
Il s’agit aussi d’un cathétérisme du cœur, mais réalisé cette fois ci pour étudier la conduction de l’électricité dans le cœur et détecter les situations à risque d’arythmie. Ces examens sont effectués par l’équipe de rythmologie de l’UZB. Certains traitements sont aussi possibles allant de la mise en place d’une pile pour stimuler le cœur (pacemaker), à des techniques plus complexes permettant de stopper certains court-circuits électriques par l’application très locale de chaleur ou de froid.
Il s’agit d’une imagerie par ultrasons qui s’effectue par la bouche. En effet l’œsophage est juste derrière le cœur, et la mise ne place d’une sonde d’échographie à ce niveau permet d’obtenir une image de très grande qualité. Cet examen est surtout utile pour évaluer plus précisément les valves cardiaques et déterminer si un traitement chirurgical, ou autre, va être nécessaire.
J’ai effectué ma thèse en 2009 dans le service de cardiologie de l’hôpital Erasme à l’ULB. Je me suis intéressé aux mécanismes régulateurs de la tension artérielle. J’ai principalement démontré que la nicotine du tabac perturbe le fonctionnement d’un de ces régulateurs, nommé chémoréflexe. J’enseigne désormais la physiologie du système nerveux autonome à l’ULB.
Le stress oxydatif est un terme qui est de plus en plus connu du grand public, depuis que certains produits alimentaires ou cosmétiques sont vendus pour leurs propriétés "anti-oxydantes". L’oxygène et ses dérivés peuvent en effet agresser la paroi interne des artères. Il s’agit d’un phénomène majeur, puisqu’à l’origine du tout début le maladie d’artériosclérose, autrement dit, à l’origine du vieillissement prématuré des artères. J’ai étudié certains déterminants de ce stress oxydatif de la paroi des vaisseaux. Une de recherche a ainsi démontré que la carence en Vitamine D favorise ce stress oxydatif et génère une perte de régulation du calibre des vaisseaux.
Travaillant en salle de cathétérisme coronaire, j’évalue quotidiennement la circulation coronaire. Je participe à différentes études tentant entre autre, de déterminer si l’on peut prédire la nécessité d’un stent en étudiant la physiologie de l’artère malade, et plus particulièrement sa capacité à se dilater lorsque les besoins du cœur augmentent. Ces techniques sont transposés au scanner coronaire et permettent d’affiner l’interprétation des radiologues (FFR-CT).
La maladie coronaire m’a été enseignée comme étant surtout la résultante d’une mauvaise hérédité familiale et de mauvais comportements (tabagisme, alimentation, sédentarité…). Au contraire des maladies pulmonaires et de certains cancers, l’environnement ne semblait donc pas avoir d’influence sur le système cardiovasculaire. Cependant, je me suis intéressé, avec d’autres confrères, à déterminer si l’environnement pouvait nuire à la santé cardiaque. Je me suis d’abord focalisé sur les effets de la pollution de l’air sur le risque de développer un infarctus. Mes recherches ont démontré un risque accru d’infarctus losque la qualité de l’air se dégrade, et ce par l’effet des particules fines, mais surtout par l’effet de l’exposition au gaz dioxyde d’azote (NO2). Ces recherches ont été présentées à différents congrès et plus récemment au conseil fédéral du développement durable. Il s’agit en effet désormais d’une problématique de santé publique.
Espace Médical Waterloo
Chaussée de Bruxelles 325
1410, Waterloo, Belgique
Jeudi | 08h30-16h30 (conventionné) |
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